Toujours en mouvement, posant ses valises partout, Thibault Cauvin aime autant se produire dans des cadres spectaculaires tels que la Cité Interdite de Pékin ou le Carnegie Hall de New York, que d’installer une atmosphère
intime sur une plage du Pacifique ou dans une ruine antique pour quelques chanceux.

Il a une soif infinie de rencontres et d’aventure et se nourrit de grands répertoires – Vivaldi, Scarlatti – comme d’univers plus actuels. Entre hommages et créations, ses albums voyagent avec lui pour garder la trace de ses
explorations et de ses coups de coeur. Cities et Cities II sont des escales où se côtoient les amis artistes de Thibault Cauvin : Matthieu Chédid, Ballaké Sissoko, Didier Lockwood… Il s’empare des bandes-originales cultes du cinéma dans Films.

Il visite les estudios sencillos de Leo Brouwer, pièces de génie de ce guitariste et chef d’orchestre cubain, que ce dernier vient enrichir de trois études spécialement écrites
pour Thibault Cauvin. Une consécration ? Certainement, et ce ne sera pas la dernière !

La haute technicité et la chaleur de son jeu lui confèrent une aura irrésistible, un brin rock’n’roll et perchée dans les
hautes sphères. Écouter jouer « le Petit Prince de la six cordes » est un immense privilège qui frôle le moment de grâce !