Chanson

Fête de la musique - Scène entrouverte

Fête de la Musique au Dampierre

  • Mardi 21/06/2022 à 19:00

Le Dampierre

7 Rue Dampierre 75019 Paris

Restaurant (80 places)

Paris 19e arrondissement

MCorentin-CariouM 7

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Gratuit !

Une consommation est requise

Le demi est à 3,50 €

Une conso, un chapeau.

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À propos

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Des chanteuses et des chanteurs, des compositions et des reprises, du bazar mais de l'harmonie, une belle soirée au Dampierre.

Les artistes

Marc Havet

Marc Havet est un artiste chantant non identifié qui armé de son piano dispense avec fougue des chansons folles incorrectes et attachantes. Chez Havet, » l’utopie est au bout de la rue » et si ses propos sont parfois violents, ils restent toujours jubilatoires.

Le chanteur cheval

— que des compos à textes denses rythmés avec chaleur et humour

2020 : prêt pour la chevauchée fantastique
2010 : phase méditation
2000 : phase sketchs dans des beaux bars perdus
1990 : phase chansons dans des petits lieux souterrains

ArchiPol

— Chanson française sauce aigre douce : tendre, mordante, décalée

Avec ses airs d’éternel adolescent et son costume en toile de Jouy, ArchiPol détonne un peu dans le macrocosme de la chanson française.
On pourrait croire qu’il cherche à faire tapisserie, ce serait mal connaître le garçon. Pour lui, chaque chanson se visite comme une île avec sa faune, sa végétation, son atmosphère. C’est ainsi qu’il écrit et compose des morceaux où il dissèque le genre humain avec tendresse, mordant et dérision.

Ne nous fions pas, non plus, à ses faux-airs de Peter Pan. ArchiPol s’est construit un solide parcours musical. De ses années passées au Royal College of Music de Londres, il a gardé – outre la technique vocale – le flegme, l’élégance et une certaine forme d’humour british et pince-sans-rire. C’est pourtant bien la chanson française qui l’a influencé et chacun de ses titres raconte son attachement à proposer une musique intemporelle et peu formatée.
A l’écouter, on pense à Boris Vian, à Dutronc, à Souchon pour l’écriture, à Thomas Fersen, Boogaerts ou Nicolas Jules pour la folie douce. Son nouvel album (« Au naturel »), entièrement enregistré en analogique, ne sent pourtant pas la naphtaline : on y trouve du relief, une âme, une rythmique qui détonne.

Et si son regard se fait naïf ou amoureux, c’est pour mieux se protéger des rudesses du monde. C’est aussi pour raconter les travers les plus sombres de la nature humaine sans jamais la juger : la dépendance affective dans La nostalgie de l’allergie, la fin d’un couple dans L’amour vache ou Sous le gel, une histoire d’embryons volés dans une maternité digne d’un film de Jean-Pierre Jeunet.

Ce qui frappe chez ArchiPol, à la ville comme à la scène, c’est sa capacité à aborder les sujets graves, et même parfois tragiques, sur des rythmiques presque dansantes. C’est une écriture au cordeau qui observe nos failles devenir des abysses.

Long story short, une chanson française cuisinée à la sauce aigre-douce.

Topaze

Topaze chante le café, conscient qu'au fond de sa tasse sommeille un monde inconnu, le monde en son entier. L'amour et ses déconvenues, l'adolescence et ses démons, le facteur Cheval et la petite ceinture, une bibliothécaire et des histoires de famille, une enfance dans l'Yonne à chercher ce que l'on peut bien trouver au fond d'un verre de vin.

****
« Topaze est un artiste plein de vie et d'espoir. Son enthousiasme pour la chanson, les mots qu'il aime me donnent de l'espoir, dans cet univers musical "d'ambiance" qui nous est imposé. Avanti ! »
**Francesca Solleville**

Monsieur Mazô

— Chanson

Monsieur Mazô est un dilettante qui flâne, mais s’arrête volontiers quand on l’y invite, pour chanter -surtout- des chansons d’amour, parce que c’est toujours moins fatigant à chanter qu’à faire. Quoique.
Attention, les chansons qui n'ont l'air de rien peuvent parfois vous exploser à la figure.

Jean-Robin Merlin

— chanson dandy-punk

**Le personnage**
Quand il était petit, Jean-Robin n’aimait pas la musique et faisait du hautbois. Maintenant qu’il est grand, il aime la musique, joue de la guitare et parfois du ukulele. Il chausse du 44, sauf du pied droit. Il a grandi à Clermont-Ferrand. Il retombé en enfance à Paris. C’est en écoutant les Beatles qu’il s’est mis à aimer la musique. Puis il est tombé amoureux de Gainsbourg. Puis des Velvet et de Monk et puis de Proust, de Pialat, de Yourcenar et de Bartok.

**Ce que nous fait sa musique**
A la fin de ses concerts, les gens lui disent des gros mots comme “tes chansons sont magnifiques”, “c’était génial”. Ils disent parfois aussi d’autres choses très gentilles comme “tu dis des choses profondes avec légèreté”, “tes chansons font du bien”, “tu as une voix hyper agréable”, “tu ressembles à personnes”. Alors il rougit et ne répond rien.

S'y rendre

Le Dampierre

7 Rue Dampierre 75019 Paris

MCorentin-CariouM 7 à 131m

TPORTE DE LA VILLETTE - CITE DES SCIENCES ET DE L'INDUSTRIET 3b à 429m

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