GoGo Penguin
Valeur montante de la scène jazz britannique, le trio GoGo Penguin puise son inspiration aussi bien du côté d’Aphex Twin, Shostakovich, Massive Attack que dans les rues brumeuses et mélancoliques de Manchester. Avec leur second album, “V2.0”, les lignes de basses puissantes, les mélodies entêtantes et imprévisibles du piano sont une nouvelle fois à leur apogée, et permettent au groupe d’être nominé pour le Mercury Prize dans la catégorie du meilleur album 2014.
KNOWER (electro-USA)
ls sont un duo électronique de Los Angeles, fusionnant chants pop et énergie funky, harmonie lyrique et beats crades. Connu pour leur performance colorée et leurs mise en scène futuriste où le vivant se mélange au graphisme pixélisé .
Proche du label Brainfeeder mené par le célèbre Flying Lotus et de la scène jazz californienne avec laquelle KNOWER collabore à plusieurs reprise. Cette année,la musique de KNOWER a été crédité dans le célèbre jeu vidéo:GTA V!
En ouverture, nous aurons le groupe de Robby Marshall, saxophoniste attitré de Cassandra Wilson....
Louis Cole
Louis Cole est un musicien, batteur et producteur mais aussi la moitié du combo explosif KNOWER. Il est l'un des batteurs les plus futuristes et prolifiquesde sa génération et ses mulitiplent collaborations avec @Thundercat , Seal, Janet Jackson....le confirment!
Louis Cole : https://www.youtube.com/user/louiscolemusic
facebook : https://www.facebook.com/LouisColeRules/
vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=glgPZmSwC4M
Portico Quartet
Outre-Manche, ce jeune gang fait plus que sensation. Signé par Peter Gabriel sur son label Real World, le Portico Quartet déstabilise le jazz depuis 2007, année de la sortie de son premier album. Trois disques plus tard, la terre tremble encore. Des effluves de post-rock et quelques sonorités ethniques voire sérielles viennent enrichir le paysage musical de ces jeunes savants fous londoniens. Il y a du Radiohead dans le jazz de ce Portico Quartet, l’esprit du label ECM également, mais aussi une énergie dignement héritée d’E.S.T. ou des motifs minimalistes comme inspirés de Steve Reich. Sur scène, ces alliages improbables et éclectiques prennent même une densité folle. Un quartet qui n’a froid ni aux yeux, ni surtout aux oreilles.