L’ÉDITION 2022 DE LA GRANDE PARTY TIRE SA RÉVÉRENCE

Après une tournée aux quatre coins du Grand Paris et des mois d’accompagnement professionnel pour les 6 lauréat.e.s de sa promotion 2022, la deuxième édition de la Grande Party touche à sa fin.

Avant de laisser ses précieux.ses lauréat.e.s 2022 voler de leurs propres ailes, La Grande Party vous donne rendez-vous samedi 8 octobre pour Le Grand Final : une folle soirée pendant laquelle les lauréat.e.s se produiront sur la scène de La Marbrerie afin de clore en beauté ces 6 mois d’accompagnement !

▬▬ LES 6 LAURÉAT.E.S ▬▬

Aghiad
Aghiad est toujours un peu ailleurs. Une part de son esprit est quelque part en Syrie, surement dans un hôtel vieilli près de la mer, où il chante dans une tenue de crooner. Entre la nostalgie de la pop arabe héritée de ses parents, et les influences electro et new wave de sa jeunesse, Aghiad tisse un monde pour en remplacer un autre, celui emporté par la guerre. Accompagné, en studio et sur scène, par Tom Hachez et Billy Sueiro, il cherche à retrouver du sens, à se libérer d’un malentendu.

Bernice
Autrice, compositrice et interprète, Bernice est une artiste tirant ses plus fortes inspirations d’auteurs tels que Fka twigs, Björk ou Radiohead.
Fidèle à elle-même, elle compose des mélodies mélancoliques aux sonorités électro. Tout comme ses textes : vrais et remplis de vulnérabilité.

Chat Perché
Chanteur, guitariste, claviériste et réalisateur de 21 ans, il propose une œuvre hybride piochant dans les rythmes abruptes de l’EBM/Cold Wave, mais aussi dans les guitares et synthétiseurs cotonneux du Shoegaze ou du courant Néo Psychédélique. Inspiré par des noms comme The Cure, Boy Harsher, my bloody valentine ou encore MGMT, Chat Perché peint le portrait d’une jeunesse tiraillée entre plusieurs lots d’émotions extrêmes. Celui d’une génération qui se doit de vivre dans l’attente d’un futur incertain tout en continuant de se découvrir elle-même.

Helma
Artiste transmédia et musicienne, Helma articule son travail autour de la vidéo, du son, de la performance et de l’écriture. Elle développe un projet d’expérimentations oscillant entre musique et multimédia pour livrer une expérience introspective.

mōna
« mōna », comme tatoué sur le poing de l’artiste franco-égyptienne. Entre dark pop percutante et viscérale, la Bretagne et Paris, c’est une bulle, une thérapie obsessionnelle infusée par la poésie de Molly Nilsson, l’énergie électrique de New Order et l’onirisme des Cocteau Twins que nous livre mōna sur son premier EP, sad girls club. Un crack d’Ableton, un petit Akaï, et une envie organique de « faire du son » : le projet de l’auteure, compositrice et productrice autodidacte est né – pour faire face à la mélancolie du monde.

Supreme Love Affair
Supreme Love Affair délivre une pop atmosphérique, à la fois trash et chic, inspirée de la froideur introspective de la techno. Un son puissant et chaotique avec l’énergie d’un dancefloor au soleil levant. La voix traverse avec un calme absolu ce voyage à base de matières organiques, de bruits, de sub et de guitares électriques.