SAMEDI 13 JUIN
Sourdoreille présente
LEGOWELT
+ DJ OVERDOSE
italo disco / 80s electro
00h>6h /12€ en prévente*, TR, habitants du 13eme / 15€ sur place *hors frais de location
50 places offertes pour ceux qui arrivent avant 1h en écrivant à reservation@petitbain.org !

Le spectre de la musique électronique sera balayé du live funky aux penchants déviants de la techno en passant par des hommages aux claviers de la pop. Pour ce second épisode, on reprend le funiculaire du plaisir avec un savant fou hollandais et son compatriote au nom interdit aux moins de 18 ans. Soirée science-fiction entre les oreilles. Mais surtout : amour sauvage, paillettes nuptiales, fraternité dansante, passion câlins, amitiés d'un soir, osmose permanente. Et un bar à plier.

LEGOWELT (3HOURS DJ SET) ● italo disco / 80s electro ● CREME ORGANIZATION, NINJA TUNE, L.I.E.S.

Dans le genre cosmique, le Hollandais Danny Wolfers n’est pas le dernier. Roi du disco-saturnien, de l’early électro des 80s et geek ultime, il est à la fois freak et prophète. Disons profreak. Il rend la prise de LSD complètement inutile avec ses meilleurs amis les synthés. Pas loin du syndrome de dédoublement de personnalité - avec ses innombrables pseudos - il propose ses services à la musique électronique depuis plus de 15 ans pour des labels comme Bunker Records, Creme Organization ou L.I.E.S. Si beaucoup le connaissent en live, ce sont dernièrement ses DJ sets qui nous ont fait halluciner. Vous serez peut-être étonnés d’apprendre que Legowelt vient de sortir un EP magistral chez Ninja Tune. Vous aurez trois heures pour profiter de sa petite tête blonde.

DJ OVERDOSE ● italo disco / 80s electro ● CREME ORGANIZATION

On vous déterre un nom qui n’a pas les honneurs actuels qu’il mérite. L’existence de ce DJ et producteur nous est venue des recommendations de son pote Legowelt et du documentaire When I Sold My Soul To The Machine concentré sur la scène de La Haye. Ses terrains de jeu sont la vieille électro de Drexciya, mais aussi le hip-hop, celui d’Afrika Bambaataa et de Grandmaster Flash, et la Miami bass en orbite. Ses productions respectueuses des bandes-son des classiques SF n’auront d’égales que l’énorme présence scénique déployée lors de ses DJ sets. Un warm-up promis sans drogues dures.