Rock

Soirée Carte Blanche à Cléa Vincent

POP, NEW-WAVE

  • Jeudi 02/03/2023 à 19:00

La Marbrerie

21 Rue Alexis Lepere 93100 Montreuil

Montreuil 93

MMairie de MontreuilM 9

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15 €sur place

12 €prévente

Le demi est à 3,50 €

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À propos

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” Bonjour je suis Cléa Vincent. Le 2 mars j’ai choisi de programmer à la Marbrerie dans le cadre d’une carte blanche, des groupes plutôt noirs que j’aime passionnément.

Tout d’abord : Les clopes, dans un style new wave dépressif et drôle, dans lequel j’ai la chance de jouer des synthés et de composer de temps en temps des chansons ultra dépressives sous le nom de Laurence Inutile.

Puis j’ai programmé Nusky et Vaati, mes chouchous ever avec qui j’ai composé un super duo : LOVE? qui vient de sortir. Je sais pas mettre une étiquette à leur musique si ce n’est que la voix et le cœur de Nusky fusionne parfaitement avec l’âme beatmakerite de Vaati. Leur dernier album est juste magnifique et ces deux mecs sont ultra inspirants !

Enfin, on va faire un dj set en duo avec mon petit frère Jerome Violent, garçon un peu brutal mais efficace en sélection de morceaux mega dansant !

Voilà ! Vous savez tout ! Bisous !”

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Les clopes
« Les clopes sont à Alain Chabat ce que Depeche Mode est à Black Sabbath. Nées dans un blockhaus noir en 2013, Les Clopes dépriment depuis trois albums glauques autant que burlesques »

Nusky et Vaati
Après deux EP sortis en 2015 et 2017, Swuh et Bluh, le duo Nusky & Vaati revient très bien accompagné avec un album collaboratif « Nusky & Vaati and Friends » dans lesquels on retrouve une flopée d’artistes de la scène pop actuelle. De David Numwami à Philippe Katerine, en passant par The Pirouettes ou encore Pépite, le binôme marginal s’offre un voyage musical éclectique en s’affranchissant des codes ou encore de ce qu’on pourrait attendre d’eux après ces 5 ans de silence.

Avec ces 12 titres inédits dont 7 featuring, Nusky & Vaati signe un retour haut en couleur et une promesse de ne plus repartir de la scène pop française avant un bon moment.

Les Fanfarons
Jérôme Violent et Cléa Vincent alias les Fanfarons partagent tous les deux une grande passion pour les danceflour. Au gré du temps et du vent ils collectionnent des pépites, du tube guilty pleasure aux morceaux d’electro plus rares, faites pour réveiller les morts… Résisterez vous à leur désir fou de vous faire danser ?

Jerome Violent
Violent : Qui agit ou s’exprime sans aucune retenue. Qui a un intense pouvoir d’action ou d’expression. Se dit d’une couleur, d’un son, d’un goût qui est très marqué.
Exemple : « Que tu es violent, Jerome, dans tous les sens du terme ».
Ce mystérieux personnage est un artiste pluri-disciplinaire. Même si la musique est le pilier de son écosystème, il évolue au travers d’autres supports médias : BD, Clips, Web-série, Documentaire, Performances artistiques, etc… car Jerome Violent aime se mettre en scène constamment.

Cléa Vincent
À travers des EP (Non mais oui 1 et 2 et Tropi-Cléa 1 et 2) et les albums Retiens mon désir (2016) et Nuits sans sommeil (2019), Cléa Vincent s’est affirmée comme porte-étendard d’une scène french pop renouvelée. Volontaire, spontanée, indissociable de son clavier, cette touche-à-tout avant gardiste joue depuis aussi longtemps que le conservatoire s’en souvienne. Avec ses textes francs et inspirés, ses mélodies aux accroches imparables et ses clips singuliers, elle a planté un décor néoromantique original, un univers dansant et sensuel qu’elle a déjà emmené sur les scènes des quatre coins du monde. Dans l’œuvre de Cléa Vincent se bouscule l’influence des accompagnateurs de ses oreilles d’enfant : Michel Berger bien sûr ou encore Alain Souchon, une école de chanson française nuancée avec la découverte, plus tard, de Sébastien Tellier, Connan Mockassin ou Philippe Katerine. L’auteure-compositrice déploie une gaité communicative et une immédiateté qui lui confèrent une signature toute particulière, distillant depuis plusieurs années des tubes (« Retiens mon désir », « J’m’y attendais pas », « Château perdu », « Nuits sans sommeil »…) qui incitent à la suivre les yeux fermés sur sa piste de danse. Sur scène comme en studio, Cléa Vincent c’est aussi un travail d’équipe : une composition avecRaphaël Léger (Tahiti 80) et des collaborations avec les musiciens Baptiste Dosdat (basse) et Raphaël Thyss (trompette. De ce travail d’équipe ressort une grande cohérence qui s’illustre dans une pop brillante et fascinante.
Electron libre, Cléa n’hésite pas à casser les codes, mêler les influences et ouvrir les portes. Elle le fera à nouveau avec Tropi-Cléa 2, deuxième volet d’une parenthèse tropicale ouverte en 2017...

Les artistes

Cléa Vincent

Difficile d’écrire la biographie de quelqu’un qui a encore tout à vivre. C’est au futur indicatif qu’il va falloir conjuguer les talents de la parisienne Cléa Vincent. Elle est jeune, volontaire et capable de tout, à l’image du hit indémodable de Minnie Ripperton (Young willing and able). Elle aime les ambiances de jungle hexagonale à l’instar de Yelle ou du trop méconnu premier album de Chagrin d’Amour. Antidote acidulé aux pâles fantômes de la french pop (de Taxi Girl à Lescop), ce premier LP fait l’effet d’un gin fizz sur le parking d’une boîte où l’on serait très désireux de pouvoir entrer

Comme une France Gall imprégnée de culture dance, Cléa enchaîne ses chansons à la vitesse haut-débit d’Alice au pays des merveilles sonores. Une recette de l’amour fou sortie de l’alambic Séverin, chanteur ne se contentant pas de plaire aux jeunes demoiselles, sachant aussi devenir leur brillant couturier sur-mesure (Liza Manili, déjà). Prendre les chansons de l’album une par une reviendrait à disséquer une grenouille vivante en cours de biologie. Il y a une telle tenue - et même teneur - dans cet album de l’immaturité qu’il serait disconvenant de l’aborder en pièces détachées. Cléa fait démarrer son histoire dans une ville-fantôme sans garçon, nous fait passer par plusieurs états de fièvre amoureuse avant de nous abandonner sur une promesse de recommencement. Indisciplinée, ne chantant qu’à sa tête, Cléa invoque un grand « Méchant Loup » et ose, dans sa « Dérive du Lendemain », un couplet en onomatopées - pas entendues depuis Jacques Higelin.

Quelle arrogance, pour une artiste de 2013, de convier à sa table tant de fantômes, démons et autres crustacés fantasmagoriques pour nouer avec eux un dialogue dans une langue happée, coulée, parfois étrange… Mais toujours en rythme ! La Baby Pop des années 10 gambade sur un chemin si peu évident qu’on va finir par l’emprunter.

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La Marbrerie

21 Rue Alexis Lepere 93100 Montreuil

MMairie de MontreuilM 9 à 240m

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