STARETZ
Venus des Spurts, Zodiacs ou Sad Knights, ils sont encore quelques uns à se soucier des fameuses douze mesures hérités du blues. Une odeur de Yardbirds, Kinks, Link Wray, ou autres petits blancs en mal de négritude, émane de leur musique…
Après trois ans et un premier disque, des concerts en France et Espagne, le décès brutal à l’été 2015 de Philippe Lombardi guitariste et compagnon de rock depuis 20 ans, stoppe net l’élan du quatuor. Sur les conseils de Patrick Derrien, du magasin de disques toulousain Made In, un jeune étudiant fou de blues, Pablo, rejoint le groupe pour continuer l’aventure.
L’étincelle se produit ! Un nouveau batteur vient d’arriver après la séparation avec Misty, US girl exilée dans la ville rose et veuve de Philippe. Le second album enregistré quasi live au mythique Condorcet par Olivier Cussac 5ème musicien en studio, est sorti en automne 2016, 15 compositions et une reprise de Lee Dorsey en vinyle, CD, numériques et sur Itunes, Amazon, etc…
CAMERA MEN
Camera Men est très fortement influencé par le rock anglo-saxon des années 60, 70 (The Stranglers, The Doors, The Gun Club, The Velvet Underground) .
Notre univers poétique est très onirique, s’appuie sur une musique franche et énergique. Cette originalité est le fruit de la rencontre d’Alain (venant du punk) et de Luc (passionné du XIXe siècle et par les poètes maudits).
»Matrices multiples, à la croisée des chemins entre rock et poésie, revendiquant et assumant avec force et aplomb ses diverses influences pour mieux convoquer et ressusciter, le temps de quelques titres, ce que le Rock des années 60 et 70 a pu offrir de plus innovant et attrayant ».
La Gazette de Paris.