�Nos petites cathédrales sont en marche� traversant les époques entre Orient et Occident avec le goût de l'expérimentation sonore et du métissage. Denis Colin, que nous retrouvons avec bonheur, nous invite à un corps à corps musical bien au-delà du classique, folk, baroque ou oriental. On entend là, des musiciens singuliers, des assemblages rares, des instruments rebelles, on ressent le travail collectif, les stratégies plurielles et réflexions communes. On embrasse avec ce �Quiet men� le temps du jeu et du rêve.