Marjolaine Piémont
Clic, on remonte le mécanisme et Marjolaine Piémont, semble sortir tout droit sortie d’une boîte à musique. Une longue dame brune. Une danseuse qui tourbillonne à la manière d’un automate.
Marjolaine Piémont porte le prénom d’une herbe aromatique mais démontre qu’elle n’a rien d’une plante verte. Sur scène, elle se met en mouvement et se révèle "Presqu’un animal". Elle ne montre pas les griffes, mais avec élégance, dévoile crûment ses textes mordants.
Elle délivre par à-coups des sons qu’elle a emprisonnés dans sa boîte magique. Le son des guitares, d’un tambour… un écrin s’ouvre duquel Marjolaine s’érige et porte haut la parole d’une femme espiègle et audacieuse.
Après avoir arpenté les scènes des caves de Saint Germain des Prés aux toits de Montmartre, de bars bondés en salles clairsemées, de Kaliningrad à Tokyo ou celles de la tournée de Mozart L’opera-rock Officiel ; en collaboration avec Vincent Baguian, Guillaume Aldebert, William Rousseau et Fambuena Edith, Marjolaine Piémont réunit dans un premier EP cinq chansons féminines et piquantes. Elle se signale depuis par les premières parties de Zazie, la finale du Pic D’Or et la demie finale du prix Moustaki 2017.
Gatica
Gatica est à l’image du Chili, sa terre natale. Après avoir chanté pour différents groupes, comme le 26 Pinel, elle écrit et compose enfin ses propres chansons. Ainsi prend forme son premier EP qui lui ressemble, à savoir, une voix, profonde et envoûtante accompagnée de voix et de violoncelles.