"Cette release party prend la forme d’un festival de poche au cours duquel se succéderont expositions et concerts de 17h30 à 21h.”

RCO
Le Rising Cloud Orchestra est un groupe de musique alternative formé en 2011 par son chanteur Jean Barisien. Véritable laboratoire sonore, le quintet se forge au cours des années un son singulier, lyrique et puissant a la lisière de la folk d’avant garde, du rock psychédélique et de la musique contemporaine. On peut citer entre autres influences majeures l’alt-country de Bill Calahan, le kraut-rock de Can ou encore la musique de Charles Mingus. Les chansons de Jean Barisien, qu’elles soient écrites en français ou en anglais, sont autant de prétextes a l’expression d’une musicalité profonde et grinçante. Aujourd’hui, le Rising Cloud Orchestra présente son premier album sur le jeune label Pschit. Cartographie de son répertoire d’origine, le disque regroupe les morceaux de Jean Barisien composés pour le R.C.O. entre 2011 et 2014.

“Pschit est heureux de vous inviter à la fête de lancement de l’album Rising Cloud Orchestra, deuxième référence du jeune label et première sortie physique du groupe RCO.
Cette release party prend la forme d’un festival de poche au cours duquel se succéderont expositions et concerts de 17h30 à 21h.”

Adrien Pallot
Comme un jeu de nuances, d’humeurs, de sensations : mélancolie et apaisement se succèdent, se combinent à mesure que nos repères habituels deviennent moins tangibles. Un lâcher-prise lent et progressif, une respiration profonde. Adrien Pallot, producteur, musicien nous livrera ici un set d’ambient dont lui seul détient le secret.

Pooya Abbasian
“Ma pratique se déploie à travers la photographie, la vidéo, le dessin et l’installation. Le temps que j’ai passé à travailler aux côtés de réalisateurs de cinéma a influencé ma façon de travailler avec les images et mon intérêt pour le questionnement de leur construction, de leur diffusion et de leur réception. Parfois, j’ai l’intention de rendre ces processus visibles, ou je crée mes propres fictions visuelles à partir d’images que je collecte sur Internet, sur des sites d’actualités ou à partir de ma propre pratique photographique. Je m’intéresse aux ambiguïtés et aux états transitoires plus qu’aux affirmations. De même, je recherche les ” liens distendus ” entre les techniques artistiques, et les failles poétiques issues du mariage des médiums. Ce sont comme des trous noirs qui s’ouvrent sur des horizons nouveaux, non découverts.”

Paul Mesnager
Présence Humaine tente de répertorier les lieux ou la domination politique rencontre le territoire : les traces d’exploration pétroliere, le murs anti-immigration ou les camps de réfugiés sont autant de stigmates physiques des jeux de domination internationaux. Mises ensemble, ces images forment une sorte de « géographie de la domination » brutale et abstraite, à l’image de la relation que les populations entretiennent avec la politique internationale.