JEAN LOUIS COSTES (LIVE)
A la fois performeur, musicien, cinéaste, dessinateur, écrivain français et scatophile underground depuis 30 ans, Jean-Louis Costes est passé maitre dans la création d’opéras porno-sociaux dont lui seul a le secret. Avec plus de 70 albums à son actif et tellement de K7 que les archivistes ont arrêté de compter, le « trash romantique » viendra ce soir donner une leçon de « fais-le toi-même » à un public drapé de peaux de bêtes ayant eu le courage de s’aventurer aux périphéries de la musique conventionnelle. Inutile de préciser que personne, les organisateurs y compris, ne connaît encore la setlist de ce concert apocacalyptique.
http://www.costes.org/

BERNARD GRANCHER (LIVE)
Fils dégénéré de Costes – avec qui il a déjà collaboré, Bernard Grancher jouera ici en exclusivité mondiale son « Cocktail Monotone » paru chez Gonzaï Records en juin dernier. Entre suicide commercial et oeuvre sans concession, une nouvelle preuve que le Rouennais ne rentre dans aucune case et que ses chansons, quelque part entre du D.A.F. chanté par Stupeflip et du Plastic Bertrand trempé dans l’acide, mériteraient d’être enseignées dans toutes les écoles de France. Alerte maximale pour cette pop terroriste qui a au moins le mérite d’être une alternative au surréalisme pour les nuls de Philippe Katerine. Bernard sera accompagné sur scène par Yan Hart-Lemonnier (Ego Twister).
https://www.facebook.com/BernardGrancherAndTheGbbg

DJ SASKII (DJ)
Derrière ce blaze se cache en réalité Sylvie Astié du collectif Doki Doki. Elle viendra enchainer avec brio des vinyles vendus très chers sur Discogs.