RYLEY WALKER

Aux boucles négligées s’est substituée une crinière broussailleuse, mais la longueur des cheveux est la même, tout comme le talent. Ryley Walker, c’est Tim Buckley projeté dans les années 2010. Avec sa guitare qu’il manie à merveille et ses morceaux mêlant folk, jazz et rock progressif avec des envolées instrumentales prodigieuses, le natif de Chicago, à l’affiche du Pitchfork Festival de la Windy City cette année, a séduit - entre autres - le prestigieux magazine américain Uncut, qui a classé son album Primrose Green 4e de son top de l’année 2015 devant Currents de Tame Impala, et Les Inrocks.
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"Ce Walker, scolaire mais ultradoué, surtout quand il s’agit de marier ses guitares folk aux formats jazz, fera la joie de ceux qui chérissent les héros d’antan." (Les Inrockuptibles, 4/5)
"Un disque dans l’esprit des travaux de Van Morrison et Tim Buckley, de la guitare folk jouée avec un esprit jazz et un grand coeur" (Uncut Magazine, #4 du Best Of 2015)
"L’homme danse seul avec sa guitare. Mes yeux, mes entrailles et mes orteils dansent avec lui. La foule est surprise, curieuse et satisfaite de son jeu de picking à l’ancienne, de sa transe et de ses petits cris, parfois presque orgasmiques, expulsés soudainement par sa voix éraillée." (Gonzaï).

THOUSAND

Un album “plein de souplesse électronique et de choeurs enchanteurs, en plein dans le mille” dit Les Inrocks, et nous ne dirons pas mieux. Avec leurs morceaux entre pop et folk, alternant entre de potentiels tubes et des constructions très originales et enivrantes, Thousand viendront secouer le Petit Bain, et vous faire danser et chanter. Car les mélodies pétillantes et maîtrisées de cette pépite de groupe, signée chez Talitres, rendent addict, et se retiennent inconsciemment.

"Une version organique, pleine de souplesse électronique et de choeurs enchanteurs. Thousand : en plein dans le mille." (Les Inrockuptibles, 4/5)
"Le folk ou la pop sont revisités avec une imagination inépuisable et émancipatrice qui redonne un sérieux coup de fraîcheur à des registres pourtant copieusement balisés." (Magic, Revue Pop Moderne, 6/6)

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